NOM ◭ Rimbaud. PRÉNOM(S) ◭ Roméo Jeremiah-Kriss. SURNOM(S) ◭ Jerem.ÂGE ◭ 28 ANS. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ◭ 14 janvier à Prague. MÉTIER/ÉTUDES ◭ Architecte SITUATION FINANCIÈRE ◭ Aisée. STATUT CIVIL ◭ Célibataire. TRAITS DE CARACTÈRE ◭ Jaloux, Possessif, Borné, Dragueur, Intelligent, Généreux, Amusant. GROUPE ◭ Loser Like Me. AVATAR ◭ Ian GOD Somerhalder.

→ Roméo fume trop, beaucoup trop. Il a commencé à 14 ans, "comme tout le monde"; et n'a plus jamais arrêté depuis.
→ Il est très sportif: la chasse aux femmes pouvant se montrer très éreintant. C'est un art extrêmement fin et difficile à maitriser. Mais quoi de plus jouissif? Dans tous les sens du terme.
→ Il se gratte l'arrière de la tête- ébouriffant inconsciemment ses cheveux par la même occasion- à chaque fois qu'il est anxieux ou pensif.
→ Il jure comme un charretier. C'est de famille: son père faisait exactement pareil.
→ Officiellement, il n'a jamais été amoureux. Officieusement, c'est une autre histoire.
→ Il est bagarreur et garde de nombreuses "marques de guerre" de ses différentes altercations; chose qui le rend extrêmement fier.
→ Il est claustrophobe, en raison d'un traumatisme subit durant son enfance.

PSEUDO/PRÉNOM ◭ Nana ÂGE ◭ 20 ans OÙ AS TU CONNU LE FORUM ? ◭ Bazzart EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ◭ Il est magnifique! TEMPS DE CONNEXION ◭ 5/7 jours. UN DERNIER MOT? ◭ I'm your hero!

you've gotta be kidding me.

Ma vie? Une vaste blague dont je suis le principal acteur. Moi, cynique? Non, très réaliste au contraire. Mais vous ne pouvez pas vraiment comprendre, sans un rapide regard en arrière. Tout à commencé par ce nom, ce stupide nom.

ROMÉO DE MACHINCHOUETTE.
ou comment compromettre la vie sociale de son enfant dés son premier jour sur terre.

« Roméo Jérémie Christopher Edouard De Laëlo-Przemysl-Rimbaud. » Oui oui, vous avez bien lu: ce nom interminable et carrément impossible à prononcer est le mien. A voir ça sous cet angle, on pourrait presque croire que mes parents m'en voulaient déjà à ma naissance. Sérieusement, comment peut-on décemment affubler son enfant de pareil patronyme et affirmer que l'on tient à lui? C'est une tuerie sociale pour l'enfant en question, oui! Et encore, je devrais m'estimer heureux: mes parents ont longuement hésité à ajouter un junior à la fin de la queleuleu de mots qui me servait de prénoms. Seulement, de peur que ça ne fasse "un peu trop", ils laissèrent tomber l'idée- non sans en avoir discuter longuement. Un peu de trop? Sans blague! Ce nom en entier faisait de trop! Ne serait-ce que le prénom Roméo... Je ne vous dis pas le nombre de moqueries que cette chose dont ils m'avaient affublé m'avait rapporté. Comment pouvait-on aimer Shakespeare à ce point? Et puis sérieusement?! Roméo n'était qu'un naïf idiot! A choisir, j'aurais largement préféré m’appeler Juan! - Don Juan- Et puis le reste... Tous ces noms les uns à la suite des autres qui, somme toute, n'avaient pas de grande signification pour moi; mais pour la famille.... Oui la famille, parlons en! Je suis issus d'un croisement entre la noblesse française et la famille princière Tchèque. Ceci pourrait expliquer cela, me direz vous- en ce qui concerne mon nom. Mais je persiste à dire que ma famille est beaucoup trop conservatrice: hé ho! On est au 21 ^ème siècle... Plus personne ne se trimbale avec des appellations pareilles- noble ou pas. Qu'est ce que j'avais toujours pu détester toutes ces traditions guindés et poussiéreuses, d'ailleurs... L'étiquette? Très peu pour moi! Pfeu! C'est d'ailleurs pour ça que j'ai changé mon nom- avec encore et toujours quelques restrictions familiales, s'entend. Ce ne serait pas drôle autrement! Mais bon, Roméo Jeremiah-Kriss- appelez- moi Kriss ou Jerem au fait- c'est mieux que rien. Et puis, c'est aussi mon aversion qui m'a fait quitter le sol français... Mais ça, ça concerne le point suivant.

L'AMERIQUE.
ou comment partir le plus loin possible de chez soi.

Comme vous devez vous en douter, j'ai toujours cherché l'occasion de quitter cette bande de coincés qui me servaient de parents. La France m'étouffait, la noblesse vivant dans un rêve, une époque révolue, m'étouffait, l'emprise que mes parents essayaient d'avoir sur ma vie et mes décisions m'étouffait. Je devais partir; je rêvais de liberté, d'un air neuf et frais. Je ne vous raconte pas ma joie quand l'occasion de réaliser tout cela se présenta à moi, sous forme d'une lettre de Yale. J'étais accepté dans la prestigieuse université pour aller étudier l'architecture. Mes parents n'avaient rien à y dire- une occasion pareille ça rend toujours bien quand on parle du fiston; et puis moi je m'envolais pour l’Amérique- pays de toutes les libertés. Que demander de plus à la vie, je vous le demande? J'y habite encore aujourd'hui d'ailleurs. Je possède une entreprise d'architecture à N-Y et voyage à travers tout le continent pour de riches et influents imbéciles. Oups! Je voulais dire clients. Oui, les riches m'insupportent toujours- même si j'en fais partie...

SEX DRUGS & ROCK'N'ROLL.
ou comment Don Juaniser Roméo.

J'avais toujours été un élève modèle- en apparence du moins. C'était, en tout cas, le seul moyen pour que mon cher papa ne me coupe pas les vivres. Cela je l'avais compris tout jeune déjà. Jouer l'enfant parfait en apparence m'avait toujours permis de m’adonner à toutes mes envies en coulisse. Mes parents ne trouvaient rien à y redire- tant que le monde entier croyait que j'étais parfait. ( NB: Pour un noble, le monde entier = les autres nobles. La bas peuple ne compte pas. ) Adolescent, j' ai commencé à faire des miennes, mais toujours en secret- le soir. Je sortais, fumais, draguais, me débauchais, me bagarrais, et j'aimais ça. Ma vraie nature était là, et non dans le pâle rôle que je m'efforçais de garder la journée, pour amadouer mon paternel et en pas compromettre toute chance de partir auprès de lui. Le soir, j'étais moi. Bordel que javais pu aimer transgresser l'interdit, et la montée d'adrénaline que cela pouvait procurer. Si en France, je m'étais tenu encore à carreau, une fois en Amérique, ma vraie nature fut exposée au grand jour. J'étais enfin moi. Charmeur de nature, j'évoluais de le monde universitaire avec aise. Bien entendu, j'avais toujours fait en sorte de garder des notes exemplaires- afin que Dady ne me réexpédie pas par le premier vol en France. Mais bon, mis à part cela, je ne me cachais plus. Et cela me fit le plus grand bien. Aujourd'hui encore, et du haut de mes 28 ans, je profite de la vie et des femmes. Ma proie de prédilection? Les femmes mariées frustrées et coincées dans leur couple... Elles sont si faciles à mener en bateau... Attention, je les apprécie vraiment! C'est juste que je me lasse vite, je crois...

ROXANE HAWKINS.
ou comment se faire prendre à son propre jeu.

Vous dire que je l'ai trouvée époustouflante dés le premier regard serait un mensonge éhonté. Je la trouvais très belle, bien sur, mais pas plus que le mannequin parisien de la nuit d'avant. La première fois que je l'ai rencontrée, c'était dans un bar d'une petite ville peu connue. J'y étais pour affaire, et- à dire vrai- l'idée de passer les prochains mois ici ne m'enchantait guère. Nous nous sommes revus. Chaque jeudis soirs, pour être précis. Toujours dans ce même bar miteux. C'était notre rituel, notre truc à nous. Je ressortais toujours comme changé de nos échanges. A quel moment j'en suis tombé amoureux? Je ne saurais pas vous dire. Était-ce la première fois que je sentis son enivrant parfum, ou quand elle a rit pour la première fois, ou encore la première fois que je la tins réellement dans mes bras? C'est un peu tous ces moments là mélangés, je pense. Bien que ce soit difficile à admettre, j'ai ouvert mon cœur pour la seule et unique fois à cette fille si spéciale. Avec elle j'étais différent, le monde était différent. Envolé le Don Juan de ces dames. Je m'étais même surpris à être fidèle à une seule et unique peau, la sienne. Notre idylle avait duré 2 ans, deux magnifiques années de rendez-vous du jeudi soir. Oui, elle était marié, et alors? Cela ne m'avait jamais arrêté jusqu'à présent. Seulement, ce que je n'avais pas pu prévoir, c'était l'autre sentiment. Celui qui s'insinuait en vous, insidieusement- tel un serpent, et vous laissait immanquablement un sale arrière gout de doutes et d'incertitudes dans la bouche. Je suis sur que vous voyez tous de quoi je veux parler, oui oui, exactement! Ce sentiment perfide et possessif. La jalousie. Avec le recul, je crois pouvoir affirmer que c'est lui qui m'a poussé à me battre avec son mari. J'aurais pu rester calme, mais- fidèle à mes vieilles habitudes- je m'étais laissé entrainé dans la dispute; sachant pertinemment que ça la blesserait. Après ça, le pire ne fut pas de la voir retourner vers son mari, non... Ce qui avait émietté mon cœur, c'est que je me savais déjà perdant d'avance face à cet homme que je ne connaissais pas. Peut-être était-ce un peu pour ça aussi la dispute. Qui sait? Au vu de la peine que je lui avait causé, j'ai décidé de m'effacer. Je n'avais que trop tardé dans cet endroit de toute manière... Malgré ma décision de la laisser tranquille, je n'avais pu résister à la tentation de lui demander de venir avec moi, de tout laisser tomber. Je savais sa réponse à l'avance- notez, mais il avait fallu que je veuille absolument l'entendre. La suite, je n'ai pas besoin de vous en faire un dessin. Je suis seul et elle est toujours mariée je suppose. Elle était, est et restera ma vie, alors que je n'étais qu'un chapitre de la sienne. Deux ans c'est long; deux ans c'est court.

EMYLYA.
ou comment échapper à un mariage arrangé.

Je connaissais Emylya depuis ma plus tendre enfance. Elle était la seule fille d'aristo que je supportais. Elle avait toujours été fraiche, ravissante et piquante. Tout ce que j’aime. Je peux, d'ailleurs, affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est ma meilleure amie de toujours, la compagne de mes frasques, quelles qu'elles soient. J'avais toujours pu compter sur elle et vice versa. Ce fut donc sans hésiter que je fis appel à elle pour m'aider à me sortir d'une énième lubie de mes parents. J'approche dangereusement de la trentaine, voyez-vous. Or, si la situation actuelle me convient parfaitement, un gentleman se doit d'être au minimum fiancé à cet âge. C'est ainsi que mes parents commencèrent à essayer de m'arranger toutes sortes de rendez-vous avec des "filles de machinchouettebidule" . ( J'ai dit que j'étais allergique aux noms à rallonge!) Mais que vient donc faire cette chère Emylya dedans, me direz-vous? Et bien, ma comparse me fit part de la merveilleuse idée de nous fiancer. Non je ne compte pas me marier avec elle et réciproquement. Seulement, ses parents lui faisant subir la même pression que la mienne, il nous est apparut comme sage de nous "ranger" pour mieux nous adonner à nos propres lubies. Emylya aimant les hommes au moins tout autant que moi les femmes. Seulement voilà, je suis de retour dans la ville de Roxane et j'ai peur... Peur de la rencontrer à nouveau avec ce nouveau déguisement. Celui du fiancé. Peur aussi de voir ce qu'elle est devenue. Mais bon, un verre et une jolie fille m'aideraient peut être à oublier? Hop! Direction le premier bar!