NOM ◭ Brodrick. PRÉNOM(S) ◭ Léonie Candice Jane. SURNOM(S) ◭ Léo, LC, Candy, Dydye.ÂGE ◭ 23 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ◭ Léonie est née le 14 février 1988, dans la ville de Genève, en Suisse. MÉTIER/ÉTUDES ◭ documentaliste - interprète. SITUATION FINANCIÈRE ◭ Léonie apprend à se débrouiller seule, même si son père -assez riche- lui verse chaque mois une petite somme à trois chiffres ... STATUT CIVIL ◭ célibataire depuis peu. TRAITS DE CARACTÈRE ◭ Ambitieuse – Fragile – Sociable – Curieuse – Franche – Passionnée – Spontanée – Souriante – Méfiante – Têtue – Rancunière – Très sensible. GROUPE ◭ loser like me. AVATAR ◭ Coco Rocha .

→ Léonie fume beaucoup ! En général, elle peut aller jusqu’à fumer un paquet en une journée. Cependant, la jeune femme a décidée de prendre de bonnes résolutions et de commencer à diminuer sur la nicotine.
→ Même si la jolie Suisse peut être très calme, elle peu aussi ressentir le besoin de faire la fête ! Ne supportant pas de rester trop souvent seule, elle aime aller à la rencontre des gens et de s’amuser. Même si elle réussi toujours à garder le contrôle sur elle-même, puisqu’elle boit très rarement.
→ La jeune femme adore les arts ; la peinture, la musique et le cinéma. Elle aime beaucoup passer du temps dans les galeries d’art, elle trouve cela reposant. Elle aime aussi passer ses soirées dans des petits bars pour écouter de jeunes groupes ou chanteurs et chanteuses solo se produire sur scène. Léonie affectionne particulièrement la soul et le rock. Elle ne se lasse pas d’écouter Adèle, Joan Jett ou encore Beyoncé … Mais aime surtout découvrir de nouveaux styles, de nouveaux morceaux, etc. … Et pour finir, Léonie affectionne surtout le cinéma espagnol et japonais ! Elle aime le côté plus « lugubre » que les japonais apportent à leur cinéma. Elle affectionne surtout le style horreur et romantique dans ce domaine. Bien que les films historiques ne la dérange pas le moins du monde …
→ La passion première de Léonie reste la lecture et l’écriture! La jeune femme a toujours un roman avec elle, peu importe où elle va. Elle aime beaucoup les romans d’amour, lisant avec plaisir Guillaume Musso, Anna Gavalda, pour les français. Chez les anglais, elle aime la psychologie des romans du duo Nicci French, sans parler des américains Ken Follet et James Patterson. Quant elle n’est pas bien ou qu’elle a un coup de blues, la jeune femme se laisse envahir par ces textes, trouvant toujours du réconfort dans tel ou tel personnage et oublie, l’espace d’un instant, ses propres soucis!
→ Léonie Candice aime aussi voyagée! Elle est très curieuse de nature et a toujours aimée apprendre de nouvelles coutumes, depuis sa plus tendre enfance. Pure catholique, elle ne refuse cependant jamais d’apprendre de nouvelles croyances et de partager divers opinions, elle est très ouverte d’esprit dans ce domaine-là. Par cet amour de la découverte, à seulement vingt-trois ans, la jeune Suisse a déjà eu la chance de voyager dans de nombreux pays, comme l’Afrique du Sud ou la France, ainsi que le Canada. Elle est née en Suisse, à Genève, mais n’y a vécue que les trois premières années de sa vie. À trois ans et demi, ses parents déménagent pour aller vivre au Canada. Plus précisément à Kanata, près d’Ottawa. Elle y apprend alors deux langues au fil des années ; l’anglais et le français. Curieuse d’en apprendre plus, elle demande à sa maman, Clarisse Jefferson, une superbe Cubaine, de lui apprendre l’espagnole, ce que la marâtre accepte l’année de ses neuf ans. L’année suivante, Léonie découvre la ville natale de sa maman. À douze ans, la jeune fille voit ses parents divorcer et sa mère revenir avec un jeunot, quelques mois plus tard. N’acceptant pas cela, elle décide de partir pour Toronto, vivre chez son paternel. À dix-sept ans, son anglais de papa accepte un post en Amérique.
→ Comme dit ci-dessus, L. Candice parle donc plusieurs langues. Les deux premières, sont les dialectes qu’elle a apprit dès sa naissance ; l’anglais et le français. Sa mère lui a apprit l’espagnol et une fois que Candice eut quittée celle-ci, elle continua de prendre des cours particuliers pour maitriser ce langage. À partir de ses quinze ans, son père insiste auprès de la jeune femme pour qu’elle apprenne le russe, lui expliquant que cette langue pourrait lui être utile dans les années à venir. Malgré sa bonne volonté, Candice n’aura jamais réussi à apprendre cette langue, mais elle la comprend presque parfaitement bien. Elle a aussi appris le néerlandais, langue qu’elle aime beaucoup. Maintenant qu’elle est de nouveau en « convalescence amoureuse » comme elle le dit ci bien, elle apprend une nouvelle langue ; l’hébreu. Jusqu’à maintenant, elle ne connait que les bases et donc, le strict minimum…
→ Fiancée deux fois, Léonie a maintenant décidée de se tenir loin des engagements ! Décidant de vivre avant tout pour elle, la jeune femme a laissée son petit-ami de trois ans déjà, derrière elle pour partir en Nouvelle-Calédonie. Après avoir vue celui-ci en compagnie de sa meilleure amie, faisant des choses pas très catholique, elle a décidée de tout abandonner derrière elle. Une bonne chose, car la jeune femme avait vraiment besoin de voir de nouveaux horizons ! Elle est donc venue dans ce pays sur un coup de tête, histoire d’encore découvrir un nouvel état.

PSEUDO/PRÉNOM ◭ Fannyy ÂGE ◭ 18 ans OÙ AS TU CONNU LE FORUM ? ◭ sur le -superbe- site Bazzart. EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ◭ Oh que oui ! TEMPS DE CONNEXION ◭ 3 à 5 /7 jours, tout dépendra de mes études. Mais je viendrai le plus souvent possible UN DERNIER MOT? ◭ écrire ici

Février 2004, New-York.

« Je peux savoir ce que tu fais à ma fille ?! ». Et c’était reparti pour un tour … Clarisse Jefferson et James Brodrick se faisaient face, dans les couloirs d’un immense bâtiment. La mère daigna à peine regarder son ex-mari, trop occupée par la beauté de sa fille.

« Ca se voit non ? J’aide notre fille à s’accomplir. Ce que tu es, entre parenthèse, incapable de faire !
- Quoi ? Non mais, tu t’fous de moi James ! C’est qui qui refusait absolument à ce que notre fille ne se présente à des campagnes publicitaires ? Qui disait que ce monde-là était mauvais et superficiel, indigne de ta propre descendance ?!
- Sauf qu’aujourd’hui, Léonie à seize ans et non cinq. Il y a une grande différence ma chère Clarisse. Ouvre les yeux, elle sait ce qu’elle fait et ce don elle a besoin. Elle sait s’occuper d’elle-même et ne risque pas de finir comme toi ».

Léonie sorti de sa loge, fixant ses parents avec surprise. Elle ne se doutait pas une seconde que sa mère serait là aujourd’hui … Elle ne s’était plus vue depuis des années ! En fait, depuis qu’elle avait divorcée d’avec James. « Papa, Judith t’appelle. Elle a besoin que tu viennes lire un ou deux contrats ».
Avec un mouvement d’espoir, la mère de l’adolescente s’approcha de la porte, pour entrer. Mais James Brodrick fut plus rapide, passant devant sa fille, il lui intima d’entrer rejoindre son assistante. Se tournant une dernière fois vers la femme qui fut l’amour de sa vie, il lui dit d’un ton tranchant ; « Tu n’as aucun droit sur elle. Tu ne saurais lui faire que du mal, tu le sais aussi bien que moi ! Elle a besoin de personne fort et stable, pas d’une junkie qui revoit en elle les espoirs qu’elle n’a jamais vue se réaliser. Léonie ne sera jamais un grand mannequin ! Elle fait ça pour gagner de l’argent, parce qu’elle est assez mature que pour vouloir elle-même payer ses études de documentaliste. Elle ne sera jamais toi ! » Sur ce, il lui claque la porte au nez.
« Qu’est-ce que Clarisse faisait ici ? » en revenant près de sa fille, James vit celle-ci renfrognée, légèrement fâchée. Il savait qu’elle avait de la rancune envers sa mère, mais elle était incapable d’être furieuse contre elle et de la détester, bien qu’elle refuse de l’appeler ‘maman’.

« Rien trésor. Tu te rends compte et tu es d’accord, pour que ça ne soi pas ton avenir, tout ça ?
- Pour finir comment maman ? Non merci ! Crois-moi papa, j’ai bien plus d’ambition que de me pavaner sur des podiums en faisant dix kilos de moins que la moyenne, en frôlant des problèmes de santé, ainsi que l’anorexie. Surtout que ce métier est faux et superficiel. Je ne suis pas une gentille petite fille qui sourie et qui ferme sa gueule. J’ai des choses à dire, à prouver et à montrer ! Je ne suis pas une bonne petite poupée.
- Je sais ma fille et c’est pour ça que je suis aussi fière de toi. Mais n’oublie pas, tes rêves avant tout. J’ai les moyens de t’aider à les réaliser.
- Le seul moyen pour que je vive de mon rêve, c’est de finir ce foutu concours, de gagner l’argent et ensuite, d’être admise à Yale. »

Mars 2011, Cabot.

« Comment tu te sens ma beauté ? »Léonie, étendue sur un lit d’hôtel, ne trouvait ni l’envie, ni le courage de bouger. Elle se contenta de grogner. Judith s’assied à côté d’elle, lui caressant les cheveux avec affection, comme une maman le ferait avec son propre enfant. En quelque sorte, cette jeune franco-anglaise avant jouée la maman de substitution, étant donnée que la jeune Brodrick n’avait plus vue sa mère depuis ses dix ans. Son assistante, conseillère et aussi amie, était donc devenue importante dans sa vie. D’ailleurs, dans ce genre de moment, seule Judith pouvait la comprendre et savoir ce dont elle avait besoin.

« Trésor, je sais que tu souffres, mais il faut que tu te reprennes en main ! Tu n’es pas ces filles, qui restent couchées dans leur lit, à pleurer toutes les larmes de leur corps en s’empiffrant de bol de glace. Tu es plus forte, plus intelligente que ça. Ne laisse pas Will t’enlever ce que tu es.
- Ne le prend pas mal Judith, mais en ce moment je m’en fous d’être ce genre de filles-là ou pas. J’ai l’impression qu’on m’a plantée un couteau dans le dos … Tu comprends ? Il m’avait promit tellement de chose et, du jour au lendemain, voilà qu’il fiche tout en l’air. Comment tu veux que j’accepte ça ? C’est la deuxième fois en plus … C’est trop dure maintenant.
- Alors, fait ce que tu sais faire de mieux ma beauté ! Remets-toi sur pied, traine un peu ici, à Cabot et puis, tu aviseras. Ton père t’a déjà trouvée un nouvel endroit où vivre. Noam t’a aussi trouvé une place en Nouvelle Calédonie. Il y a un superbe job’ pour toi là-bas. Le boss pense que tu pourrais faire un très beau documentaire en allant là-bas quelques mois. Qui sait ? Peut-être que tu te sentiras mieux en revenant.
- Je ne sais pas du tout ce que je ferais sans vous tous … Merci ! »Serrant la jeune femme dans ses bras, Judith eu un sourire satisfait. Elle savait que le seul moyen pour que sa petite protégée ait mieux et se remette sur pied était de l’envoyée travailler. Et de préférence, dans un autre état, où elle pourrait faire de nouvelles rencontres et découvrir de nouvelles choses.