Emrys Z. Cartwright.
✈ MESSAGES : 76
✈ DATE D'INSCRIPTION : 29/12/2011
✈ PRÉNOM : estelle
✈ AVATAR : paul wesley.
| Sujet: 'tonight tonight there’s a party on the rooftop top of the world.' ♣ candice Sam 31 Déc - 16:08 | |
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✈ i will always love my work. « Hé Romane tu sais quoi ? » criais-je à travers la porte de la salle de bain. Oui je suis toujours entrain de crier et d’ailleurs les filles me le reproche assez souvent, mais bon des fois je peux pas m’en empêcher. Et puis au moins, je suis sûr qu’elle m’entend . « Non mais tu va me le dire » répondit-elle. Sérieux ma belle faudrait que tu change de réponse ça devient lassant à force. Si je me casse la tête pour te faire des devinettes c’est pour que tu cherche un peu , mais bon… Je suis en train de finir de me doucher et d’un seul coup je perds ce que je voulais absolument dire à Romane. « Rien en fait » finis-je par répondre à défaut de retrouver la blague pourrie que j’avais prévu de lui faire. Je suis persuader qu’elle est en train de râler dans le salon. Parfois elle peut être une véritable rabat-joie et c’est tout de suite beaucoup moins drôle. Je termine de me sécher avec ma grande serviette blanche et rapidement je me rends compte qu’un étrange silence règne dans la maison. J’aime pas ce genre de silence. Soit Romane est parti sans rien dire ou alors elle est en train de faire un truc tellement passionnant qu’elle ne peut pas me parler en même temps . « Emrys j’y vais ! On se voit ce soir ? » Ah vu comment elle viens de ce mettre à crier elle n’est pas parti et elle n’est pas morte c’est déjà un bon point. Malgré tout elle me laisse tout seul alors que je viens à peine de rentrer. « Bien sûr qu’on se voit ce soir, c’est quoi cette question ?! Et tu va ou ? » hurlais-je en réponse. Alors je vous vois tout de suite venir et je vous répond immédiatement que non je ne suis pas curieux ! J’aime juste savoir où va ma meilleure amie au lieu de rester avec moi. Et non je suis pas jaloux ! Ou alors juste un tout petit peu, mais vraiment un pas beaucoup hein . « Bon à ce soir alors et je vais chez Lexie monsieur le curieux ! » me répondit-elle avant de claquer la porte d'entrée. Et voilà je me retrouver tout seul en moins de cinq minutes alors que j’avais écouter ma garde pour passer la fin de l’après-midi en compagnie de mes meilleures amies. Bon d’accord, je ne les aient même pas prévenu à l’avance, mais je pensais sincèrement qu’elles seraient toutes les deux à la maison. Et bien c’est rater. Une heure et demie plus tard, je me retrouve de nouveau à l’hôpital. Bah oui, je tournais en rond chez moi alors autant revenir au boulot et être utile. En plus, à cette période de l’année les urgences sont toujours remplies à bloc et les internes sont toujours utiles pour faire des sutures etc… Et je n’ai pas eu tort de revenir. La moitié des internes ont dépassés le quota des quatre-vingt heure et sont obligés de rentrer chez eux. Ici au moins, je sais que je vais pas avoir le temps de m’ennuyer. Je viens à peine d’arriver que ma résidente me cours après. « Emrys ! Emrys Cartwright j’ai besoin de toi à la mine et par pitié dit moi que tu a pas dépassé le quota ! » l’ai complètement débordée. Tout le monde cours dans tout les sens dans ce couloir de l’hôpital et je dois avouer que c’est cette ambiance qui me permet d’aimer autant mon boulot. « Je peux encore travailler une dizaine d’heure Docteur ! » lui dis-je avec un léger sourire. Je ait toujours très attention de bien me faire voir par les résidents, après tout c’est eux qui nous évaluent et qui nous permette d’assister à des opérations du tonnerre. « Okay apparemment c’est le rush là-bas, tu travail vite, mais bien ! » me dit-elle avant de disparaître au détour d’un couloir. De mon côté, je me dépêche de me rendre aux urgences afin de me mettre au travail immédiatement. Là-bas, une infirmière me tends une pile de dossier qui fait presque ma taille. D’accord. Et bien commençons. Elle m’indique de me méfier du premier dossier, apparemment la jeune femme ce serait légèrement énerver pour que quelqu’un s’occupe d’elle. J’ouvre le dossier et appel à la cantonade. « Mademoiselle Brodrick ! » |
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L. Candice Brodrick.
✈ MESSAGES : 33
✈ DATE D'INSCRIPTION : 30/12/2011
✈ PRÉNOM : Léonie Candice Jane Brodrick
✈ PSEUDO : fannyy.
✈ AVATAR : Coco Rocha ♥
| Sujet: Re: 'tonight tonight there’s a party on the rooftop top of the world.' ♣ candice Sam 31 Déc - 23:29 | |
| « Qu’est-ce que tu fais ? » Tapant du pied sur le sol, Candice Brodrick avait beaucoup de mal à garder son calme. Merde après tout ! Elle avait un planning à respecter elle. Regardant pour la énième fois sa montre, poussant un dixième soupir, Candice commença à tourner autours de son nouvel assistant, pour voir ce que celui-ci fabriquait. « Un souci Mademoiselle Brodrick ? demanda-t-il d’une voix trop mielleuse au gout de la jeune femme. - Oui, y a un souci mon p’tit ! On t’a jamais apprit ce qu’était un planning, là où t’as fait tes études ? Ou peut-être que tu n’en as strictement rien à faire ? Si c’est le cas, tu peux changer de boulot ! Je ne travaille pas avec les feignasse ou ceux qui prenne tout à la légère. Compris ? - Oui, Mademoiselle. Mais, on m’a dit que je devais ranger le matériel, avant qu’on ne parte. » Levant les yeux au ciel, Candice sorti du bâtiment sans mot dire. Prenant Noam avec elle –après tout, il s’agissait tout de même de son collègue et, logiquement, de son supérieur– elle commença à déverser toutes les injures qu’elle retenait depuis le matin-même. « Qu’est-ce qu’il s’est passé hier soir, Candice ? - Je ne vois pas de quoi tu veux parler ! Bordel, ça se voit qu’on n’est plus à New-York, merde ! La moindre des choses, ça serait d’avoir déjà préparé tout le matériel, pour être près à bouger à la seconde où je le dis ! - Tu sais, ici ce n’est pas comme New-York. Je te rappel que si nous sommes venus en Nouvelle Calédonie, c’est avant tout pour que tu prennes du repos et que tu te changes les idées. Pas pour te faire un nombre incroyable d’ennemis. - Je ne me fais pas d’ennemis ! Seulement, pour me sentir mieux, il faut que je bosse. Et que je ne réfléchisse pas… Hors, quand des gosses de douze ans ne savent pas faire leur boulot correctement, je me remets à penser. Et penser, c’est mauvais pour moi ! » Se gardant de tout commentaire, les deux documentalistes continuèrent leur chemin, jusqu’à l’une des plage de Nouvelle Calédonie. La première chose que la jeune avait voulue faire en arrivant dans cet endroit merveilleux, avait été de réaliser un documentaire sur les plus beaux paysages de l’état. Elle trouvait d’ailleurs que les plages étaient certains des plus beaux endroits en Nouvelle Calédonie. Ne prenant pas en compte ce que Noam lui disait, Candice décida de monter sur les rochers, histoire d’avoir une vue imprenable sur les personnes présentent ici. Elle aimait voir les amants se tourner autours, les familles rires ensemble ou les enfants construisent des châteaux de sables, même si –pour la plus part du moins– ça ressemblait à tout, sauf à des châteaux. Ce qu’elle adorait dans ce métier, s’était de tout capturer sur le moment même. Les gens, en ne la voyant pas toujours au premier coup d’œil, ne pouvait pas feindre devant sa caméra. En l’occurrence, au moment où elle filmait, les gens passaient un excellent moment sous ce superbe soleil. Souriante, Candice ne fit pas attention où elle posa le pied et glissa, dégringolant quelques mètres sur les rochers. Bien que Noam fut rapide pour la rattraper, que Candice eut la satisfaction de voir sa caméra intact, qu’elle ne fut pas son cri d’horreur en voyant tout son côté droit arraché à cause du frottement sur les rochers. Grimaçant en se relevant, elle dut constater qu’en plus, sa cheville avait doublée de volume et qu’elle avait excessivement mal quant elle essayait de marcher. « On va à l’hôpital ma jolie ! » . Elle eu beau crié, essayé de marchander et j’en passe, rien n’y fit. Quelques minutes plus tard, elle se retrouvait aux Urgences de l’hôpital. « Ca va, c’est bon, je ne suis pas mourante, je peux très bien rentrée Noam ! - Et puis quoi encore ? Je ne suis pas infirmier, je ne saurais pas m’occuper de toi ou te soigner. - Tu vois, je suis une grande fille, je peux très bien me soigner toute seule. Et puis, ce n’est pas comme si s’était cassé… Et en plus, on a plein de boulot ! - Faux, ma jolie. On est ici, à la base, en vacances. Ce qui fait qu’on a tout notre temps. Tu n’as donc aucune excuse, compris ? Donc, tu vas attendre bien gentiment ici que quelqu’un de compétent s’occupe de toi et donne son accord pour que tu rentres chez toi. En attendant, je vais vite retourner au bureau pour ramener la caméra et tout ce qu’il faut, ainsi que prévenir le patron. - Tu vas me laisser ici toute seule ? Avec des gens que je ne connais pas ? - Tu es dans un hôpital Candice, qu’est-ce que tu veux qu’il t’arrive ? » La barbe ! Cachant difficilement son mécontentement, Candice resta muette les dix premières minutes. En voyant que rien n’avançait, elle commença à perdre patience, appelant chaque infermière passant sous son nez. Quand enfin, une daigna lui dire d’aller se présenter pour donner son nom, elle eut du mal à garder son sang froid, faisant légèrement remarquer qu’elle était vilainement amochée. La troisième infermière qu’elle agressa lui promit que quelqu’un allait venir s’occuper d’elle. Candice était à deux doigts de refaire un caprice, quand elle entendit une voix masculine ; « Mademoiselle Brodrick ! » Regardant autours d’elle, Candice vit le jeune homme qui semblait avoir son dossier dans les mains. Gardant sa réplique cinglante pour elle, la jeune femme se contenta de serrer les dents et de dire un simple « Ici ! » . En voyant l’infirmier ? Interne ? Médecin ? Bref, en voyant ce bel homme s’approcher d’elle, Candice dut reconnaitre, contre son gré, qu’il était diablement sexy. Gardant cette pensée pour elle-même, la jeune américaine lui décocha un regard noir tandis qu’il s’asseyait à coté d’elle.
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